L’oncle de la narratrice était potier. Un jour, il décida de s’en aller. Cet album immensément délicat évoque la question du deuil à travers les objets qui restent, et sur eux les gestes qui les ont façonnés. Ces objets qui ramènent à des souvenirs d’enfance, très précis, très réconfortants, qui continuent à tenir quand ces enfants deviennent des « grands ».
Merveilleux album, aussi doux que ses illustrations le suggèrent, avec quelques québécismes dans le texte, qu’on adore parce qu’ils sont si beaux.
Dès 4 ans.
« Pourtant, il est partout chez moi. »