Un roman court et génial en forme de kaléidoscope : on suit un personnage, puis un autre, puis un autre, jusqu’au dénouement final, où l’on comprendra ce qui relie toutes ces vies. C’est beau et simple à la fois, parfois drôle, souvent émouvant. À mettre entre toutes les mains !
« En mangeant le premier de ses quatre biscuits, il pense donc aux mêmes névroses auxquelles tout le monde pense dans les moments d’arrêt : le désamour, l’ingratitude des enfants, la perte. »