Figure de proue du féminisme américain, Andrea Dworkin a été prise pour cible de la haine antiféministe. Le milieu de l’édition américaine lui reproche le manque de « féminité » de son écriture, directe et sans compromis, qui choque et décille les consciences.
Il faut lire ces discours vibrants que clamait Andrea Dworkin dans les années 70 ! Ils donnent de la force, de l’élan, ils rappellent que des choses ont changé et d’autres… vraiment pas. Nécessaire !
« L’art masculiniste, l’art de siècles d’hommes, n’est pas universel, ni l’explication ultime de ce que signifie être au monde. Ce n’est finalement que la description d’un monde dans lequel les femmes sont assujetties, asservies, différenciées par leur seule présence corporelle, rabaissées. »