C’est une langue si courageuse, la langue de Douce Dibondo, qui ouvre de si larges champs pour dire, avec le souci d’une grande justesse, une colère profondément humaine. C’est un recueil absolument magnifique, qui vous coupe et vous saisit. Par l’autrice de « la charge raciale ».
« la violence est-elle nécessaire ?
qui a encore le temps pour cette question de boloss je wanda : à quelle heure notre violence ? »